L’Irak a connu, en octobre dernier, une vague d’attentats dont le bilan s’avère être l’un des plus sanglants depuis 5 ans. Dix ans après la fin « officielle » de la guerre d’Irak, l’instabilité du climat politique, les luttes inter-religieuses entre sunnites et chiites et l’état déplorables des infrastructures plombent le paysage économique du pays, pourtant détenteur d’importantes réserves de pétrole, parmi les plus riches de la planète, selon plusieurs études récentes.
Iraq: the myth of Eldorado
Iraq has just had a wave of terrorist attacks, which turned out to be particularly bloody. Ten years after the Iraq war was “officially” declared to be over, the instability of the political climate, interreligious fights between Sunnites and Shiites and the deplorable state of infrastructures weigh down the country’s economy, despite its possession of enormous petroleum reserves.