L’objectif déclaré de la France est de participer à l’effort mondial de réduction puis de suppression des émissions de CO2. Pourtant, sa politique ne tient pas compte du fait que le CO2 ignore les frontières.
Autour de l’année 2035, la Programmation pluriannuelle de l’énergie remplace par des éoliennes et du photovoltaïque des réacteurs nucléaires qui pourraient fonctionner dix ou vingt ans de plus en toute sécurité, ce qui obligera à dépenser chaque année plusieurs milliards d’euros de plus sans aucun effet sur les émissions de CO2 — des milliards qui pourraient, ailleurs, éviter des émissions.