Si on admet que le droit, comme les autres sciences sociales, notamment l’économie et l’écologie, peut se saisir des énergies renouvelables, aborder ces énergies à l’aune du droit international public revient à réfléchir à une appréhension de celles-ci comme champ de développement de ses règles substantielles et procédurales. Toutefois, l’étude de la doctrine ou du droit positif relativement au domaine des énergies renouvelables permet de faire un constat : les énergies renouvelables, sans être ignorées en droit international public, n’y font cependant pas encore florès. Ainsi que l’exige la méthodologie juridique,

Après un cycle académique court sanctionné par l’obtention d’un Brevet de Technicien Supérieur en Communication option Journalisme, Mariette Ntienjem a opté pour des études de droit à la Faculté des Sciences juridiques et politiques de Yaoundé II. Elle a exercé, concomitamment avec ses études de droit, dans divers médias du Cameroun. En 2008, après un recrutement comme contractuelle d’administration au ministère de la Santé publique, elle a rejoint par la suite le ministère de l’Eau et de l’Énergie où elle officie depuis 2017. Elle est assistante à la Faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Université de Douala-Cameroun depuis mars 2021.

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