Le gouvernement, au pouvoir depuis décembre 2015, tente d’enrayer une grave crise énergétique. Il a engagé la réduction progressive des subventions pour le gaz et l’électricité et la renégociation des tarifs de distribution et de transport gelés depuis 2002. La hausse du prix du gaz non conventionnel, qui atteint 7,5 $ le MBtu, doit être réduite en trois ans. Enfin, des offres pour les projets d’énergies renouvelables (2 000 MW) et pour de nouvelles capacités thermiques sont encouragées.